Aide-cuisinier

Descriptif du poste.

 

L’aide-cuisinier se situe au premier échelon des métiers de la cuisine. Il est considéré comme un apprenti et en tant que tel il ne peut pas confectionner un plat en totale autonomie.

 L’aide-cuisinier exécute les tâches extrêmement diversifiées que lui demandent les chefs de partie, les cuisiniers et le chef de cuisine. Il prépare les ingrédients nécessaires à la réalisation des plats : lavage et épluchage des fruits et légumes, pesée des ingrédients, réduction des sauces, dressage dans les assiettes de plats simples… Mais il aide à la réception et au rangement des aliments dans les chambres froides et dans les réserves. 

Il est chargé du nettoyage des plans de travail et de la vaisselle si l’établissement ne possède pas de machine ou d’un poste de plongeur. A la fin du service, il range le matériel, balaie et lave les sols et toutes les zones de travail. Les cuisiniers peuvent lui confier davantage de responsabilités selon son degré d’investissement et son expérience.

SALAIRE

Aide-cuisinier

Le salaire moyen d’un aide-cuisinier est d’environ 1 700 euros bruts par mois. Le salarié percevra donc un salaire d’un peu plus de 1 300 euros net par mois avant prélèvement des impôts. Son taux horaire brut sera compris entre 11 euros et 11,50 euros. 

Au début de sa carrière, l’aide-cuisinier sera rémunéré d’un taux horaire compris entre le SMIC et 10,50 euros bruts de l’heure. Cela lui permettra de pouvoir dépasser les 19 000 euros bruts annuels pour un contrat de 35 heures. Avec un salaire brut mensuel pouvant atteindre les 1 600 euros, il percevra un salaire net d’environ 1 250 euros. 

La marge de négociation pour ce type d’attributions reste assez faible. Il faudra souvent accepter des postes avec plus de responsabilités pour pouvoir gagner plus. Un aide-cuisinier disposant de plusieurs années d’expérience pourra éventuellement atteindre les 2 000 euros bruts par mois. Son salaire de 24 000 euros bruts annuels lui permettra de percevoir chaque mois plus de 1 550 euros.

DIPLOME/ FORMATION

      S’il est encore possible d’accéder au métier sans formation préalable, un CAP Cuisine ou un Certificat de Qualification Professionnelle de commis de cuisine sont appréciés des recruteurs. 

Un bac pro Restauration facilite l’évolution du parcours professionnel. La préparation à ces diplômes s’effectue dans les lycées professionnels publics ou privés. La formation en alternance est conseillée pour faciliter l’entrée dans le métier.

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