Chef de secteur commercial
Descriptif du poste.
Le Chef de secteur commercial travaille au sein d’une entreprise ne possédant pas son propre réseau de distribution que ce soit une grande surface alimentaire (GSA) ou une grande surface spécialisée (GSS). Sa mission consiste à mettre en œuvre et à veiller à l’application des accords nationaux et de la stratégie commerciale, décidés au siège de son entreprise, dans les surfaces de vente situées sur une zone géographique donnée.
Il a pour objectif d’optimiser le chiffre d’affaires de sa société en augmentant les chiffres de vente de ses produits. Pour parvenir à atteindre ces objectifs, il veille au référencement et à l’emplacement de ses produits et s’assure de leur rotation et de leur réapprovisionnement. Il propose des actions promotionnelles et négocie la présentation de ses produits avec les chefs de rayon.
Le chef de secteur commercial a également un rôle pointu de conseil et d’information dans les magasins de sa région : merchandising, publicité, animations… Il organise le lancement des nouveautés et suit l’impact commercial de ses actions. Il peut avoir la responsabilité de la gestion budgétaire de la publicité et des opérations de promotion. I
SALAIRE

Le salaire d’un chef de secteur commercial dépend largement du secteur pour lequel il travaille. Si ce salarié démarre à 1 600 euros bruts mensuels, il peut arriver à une rémunération moyenne de 42 000 euros bruts annuels, soit 3 500 euros bruts mensuels, hors primes.
Selon le CIDJ, le salaire d’une chef de secteur commercial débutant se situe aux alentours de 1 600 euros bruts mensuels, primes et avantages non compris. L’évolution salariale dépendra ensuite largement du secteur. Après cinq ans d’expérience, le chef de secteur commercial peut être payé entre 35 000 et 45 000 euros selon Page Group, avec un variable estimé à 10 à 15 % du salaire annuel.
Dans la grande consommation en revanche, terrain de l’enquête sur les salaires du cabinet Hays, le chef de secteur commercial démarre à 26 000 euros bruts annuels pour atteindre 35 000 euros au bout de trois ans, puis entre 42 000 et 45 000 euros après cinq à huit ans.
DIPLOME/ FORMATION
S’il est possible d’entrer dans le métier à Bac + 2, avec un BTS Force de vente ou un DUT Techniques de commercialisation, les formations à Bac + 4 ou 5 sont davantage appréciées.
Une licence professionnelle Commercialisation des produits et des services industriels suivie d’une formation en école de commerce ou d’un Master en distribution favorisent l’accès au métier.
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